Évolution

Évolution

Il y a longtemps de cela, les wyverns étaient les seuls maitres des terres et des cieux. Il vivait en une harmonie parfaite, respectant leur chaîne alimentaire et ne blessant jamais inutilement une autre bête. Mais bien sur les choses évolue et changent, certain wyverns devinrent agressif et violent, une profonde rage sommeillait en eux. Ils se divisèrent en deux clans, les rebelles et les enragé. La guerre empira lorsqu’une nouvelle espèce émergea, les humains, impitoyables et sanguinaires, ceux-ci tuait les wyverns des deux clans et en faisaient des armures et des armes à attribut spéciaux. Certains wyverns rebelles se liait d’amitié avec les hommes alors un nouveaux clan se forma, les traîtres. Mais un humain avide de pouvoir avait décidé de prendre en rênes la guerre. Il se créa une armure absolu, regroupant tous les talents en celle-ci, le pouvoir lui monta a la tête et il perdu contrôle de lui même. Il prit possessions des enragés et il essaya de mettre fin a la guerre en fonçant tête baissé dans les rangs ennemis, les humains était loin d’être stupide prêta main forte au rebelle et au traître. Les rebelles gagnèrent de justesse cette guerre et le ‘’seigneur démoniaque’’ disparut du champ de bataille, personne ne retrouva son corps... Plusieurs années passèrent et les traîtres refirent un avec les rebelles. Plus aucun enragé ne fit surface et le monde continua de se reposer jusqu’a ce que la nouvelle imminente du retour du guerrier enragé arriva...

Chapitre 1
|Aaron Takeda|
La bête dévalait la cote à une vitesse vertigineuse. Aaron bloqua l’attaque adverse avec son bouclier et fit une roulade. Il se releva et regarda la bête droit dans les yeux, ses crocs énorme était massif et tranchante. Il recourut vers moi mais cette fois ci je l’esquivai aisément et je réussis a lui plaçait un coup dans les côtes. Un flot de sang jaillit et la créature s’enragea. Il fonça encore vers moi mais cette fois je n’eu le temps de bloquer et son croc me lacéra le visage. Je courus vers lui et me lança sur son dos, empoignant mon arme a deux mains, je lui traversai le crâne de haut en bas. Fier de moi, je rangeai mon arme et contemplai le bullfango lorsque des sons de respiration se firent entendre derrière moi.

Les villageois firent alerter par les cris qui provenaient de l’autre coté du fort. Un hunter essayait tant bien que de mal de chevauchait un bulldrome enragé. Celui-ci stoppa net et son chevalier prit une envolée spectaculaire avant de rouler au sol. Aaron se releva malgré la douleur et il fonça sur le bulldrome en hurlant. Il abattit son épée sur le crâne de l’adversaire et sur de l’avoir vaincu il s’écarta. Malheureusement la tête du bulldrome est plus solide que elle des bullfango et il réussit à survivre a cette attaque temporairement car une cascade de sang ruisselait de sa plaie. Aveuglément, il fonça vers Aaron qui n’avait pas remarqué que sa proie était encore en vie et celle-ci le plaqua de plein fouet dans les dos. Le bulldrome s’apprêta à recharger alors qu’une pluie de flèche s’abattit sur lui. Il se retourna et observa l’autre chasseur d’un œil mauvais et comme nous le savons tous, un bulldrome n’est pas réputé par son intelligence alors celui-ci fonça vers le nouvel arrivant. Le maître esquiva habilement et décocha des flèches dans le postérieur de l’animal. Aaron s’élança, reprit son épée qui était dans le crâne du bulldrome et asséna un coup mortel à la jugulaire de celui-ci. L’énorme sanglier tomba au sol et fût parcourus de plusieurs spasmes nerveux avant de mourir. Le jeune homme salua et remercia son maître avant d’aller au hall essayai d’impressionner quelque fille du coin.
-Hey bébé, tu sais que je ne suis pas juste bon avec mon épée?
-Et puis?
-Ben sa te tenterais pas d’essayait avec un pro? Sa refuse pas non?
-Oui sa refuse dit-elle avant de changer de table.
-Merde de merde de merde de merde pourquoi sa marche jamais putain, pourtant ses pas sorcier. Exaspérer Aaron partit vers chez lui avec la nette impression que cette histoire allait se faire parler.

Plus loin, dans une hutte, un étrange rassemblement avait lieux, les personnes les plus importante était tous sans aucune exception réunit autour de cette table.
-Je crois commença le chef du village que la rumeur devrait être pris au sérieux, si le seigneur revient vraiment, il ne reviendra pas seul, certain wyverns de son armée l’accompagneras dans sa campagne de destruction et nous devons nous y opposer coute que coute.
-Non entama Yvan, le chef des guerriers, je n’enverrais pas d’homme enquêtais dans la région pour une simple rumeur à la con comme toute les autres pestiféras-t-il et en plus l’hiver arrive, les guerriers ne pourrait revenir au village.
-Je suis d’accord avec Yvan dit Makashi, le maître de Aaron, nous devrions envoyer seulement une personne là-bas et j’ai ma petite idée.
-Aaron ne se pas encore pas se battre, un petit Bulldrome a failli l’achevé et si nous l’envoyions hors du village nous signons son arrêt de mort.
-Ses l’élue, il peut se défendre, il apprendra de lui même et rencontreras d’autre chasseurs expérimenté, je suis sur qu’il peut y arriver.
-Se n’est pas parce qu’il est l’élue qu’il est très puissant, se sale mioche n’amasse que des désastres avec des désastres
-YVAN!!! Je vous interdis de parler de mon disciple de cette manière
-Et puis j’en ais rien a faire de ton CHÈRE disciple, il mérite bien comme l’abandonne a son sort. Makashi perdit les contrôles de lui même et abattit violement son poings sur la mâchoire de son supérieur. Un craquement sonore retentit et Yvan retomba lourdement au sol.
-SA SUFFIT! Tonna le chef du village, reconduisez Yvan a sa hutte, je crois qu’il n’ais pas en état de continuer le débat, je décide que Aaron partiras dans 3 jours, jours pour jours et seul. Il ne doit en aucun cas savoir qu’il est élu et surtout il doit y aller seul.
-Je vais l’avertir décida Makashi
-Non, laisser le ce reposer vous l’avertirez demain pas plus tôt pas plus tard, est-ce clair?
-Oui chef
-Maintenant je déclare cette assemblée terminé, si vous voulez bien rentrer chez vous.
Pendant ce temps Aaron était étendu dans son lit, dormait et rêvait à des choses peux catholique et encore moins socialement acceptable.